LA VITAMINE C, BENEFIQUE CONTRE LE CANCER !

2335826La vitamine C joue-t-elle un

                     rôle dans la lutte contre le cancer ?

 

 

C’est en tout cas ce que suggèrent les chercheurs de l’université d’Otago, à Christchurch (Nouvelle-Zélande). Selon eux, un niveau suffisant de vitamine C empêcherait le développement et la survie des cellules cancéreuses.

 

 De précédentes études avaient mis en évidence le rôle primordial de la vitamine C dans la préservation des cellules saines, suggérant l’intérêt de cette vitamine dans la prévention de maladies telles que le cancer.

 

Afin d’évaluer la relation entre le niveau de vitamine C et le développement du cancer, les auteurs ont suivi des patientes atteintes de cancer de l’endomètre et ont mesuré leur taux de vitamine C ainsi que celui d’autres composés tels que l’HIF-1, une protéine permettant aux cellules cancéreuses de se développer, même dans des conditions de stress.

Résultat : le taux de vitamine C est plus faible dans les cellules cancéreuses que dans les cellules saines.

 

Par ailleurs, les cellules cancéreuses où il y a le moins de vitamine C sont celles où il y a le plus d’HIF-1. Le manque de vitamine C permet aux cellules cancéreuses de survivre et de croître plus facilement. Pour le docteur Margreet Vissers, auteur de l’étude, « grâce à ces résultats, une méthode simple et prometteuse pourrait être mise en place pour lutter contre le cancer, tant au niveau de la prévention que de la guérison ».

 

En effet, traiter les patients atteints de cancer avec des quantités adéquates de vitamine C pourrait permettre de réduire le taux d’HIF-1, de limiter la croissance de la tumeur et d’augmenter l’efficacité de la thérapie.

 

CHOISIR SES ALIMENTS !

 

Voici 8 aliments ou groupes d'aliments à réduire en prévention du cancer ou si vous avez déjà été victime d'un cancer.

 

Manger juste ce qu'il faut, pas plus. Lorsqu'on mange moins de calories, il semble que les cellules cancéreuses aient plus de difficulté à se multiplier.

 

La démonstration en a été faite dans un tube à essais en 2001 par des chercheurs de l'université Ben Gourion en Israël. Le Dr David Eichler a observé la croissance de cellules lorsqu'elles sont soumises à une restriction d'énergie, ce qui est le cas quand on mange juste assez de calories pour rester en bonne santé. Dans ce contexte, les cellules normales se multiplient moins vite. Mais les cellules cancéreuses, parce qu'elles ont besoin de se reproduire rapidement finissent par mourir. « Elles essaient de se reproduire plus vite que ne le permettent les ressources énergétiques, et c'est cela qui les fait mourir, » dit le chercheur. Selon lui, en mangeant juste ce qui est suffisant, pas plus, on contribue à « affamer » les cellules cancéreuses.

 

Efforcez-vous de finir vos repas avec encore un peu d'appétit.

 

Manger moins de céréales, notamment raffinées Cela peut paraître étrange de conseiller moins de céréales alors que les industriels les présentent comme des aliments idéaux pour la santé et que le ministère de la santé encourage leur consommation.

 

Le problème d'une alimentation riche en céréales est triple :

- les céréales sont très denses énergétiquement : elles apportent beaucoup de calories pour 100 grammes;

- la plupart font monter le sucre sanguin et l'insuline; c'est vrai pour les céréales raffinées (le pain blanc), mais c'est aussi vrai pour le blé « complet », levé avec de la levure de boulanger (pain, biscuits, pâtes complètes) Ce faisant, les céréales augmentent les niveaux de facteurs de croissance comme l'IGF-1, qui encouragent les cellules à se multiplier.

- les céréales sont une source importante d'acides gras oméga-6 qui encouragent l'inflammation – un facteur favorable aux tumeurs. -

 

Manger moins de sucre et de produits qui en contiennent ;

 

- Réduisez la consommation de sucre blanc dans le thé, le café, les céréales du petit déjeuner, les confiseries, gâteaux, biscuits. Le sucre peut contribuer à activer la voie insuline et élever le niveau de facteurs de croissance comme l'IGF-1 qui est en cause dans les cancers. Le fructose ou le sirop de glucose-fuctose ne sont pas de bonnes alternatives au sucre car on les soupçonne eux aussi de conduire à une résistance à l'insuline qui n'est désirable ni en prévention du cancer ni du diabète.

 

Eviter le sel :

On y arrive en mangeant moins de plats préparés, de pains, quichez, pizzas, en salant moins les plats que l'on cuisine. On peut aussi trouver en magasin diététique et en pharmacie des sels à base de potassium, pauvres en chlorure de sodium.

 

Manger moins de laitages :

Les autorités sanitaires conseillent de consommer toute la vie 3 à 4 laitages par jour. Mais d'une part, on n'a absolument pas la preuve qu'en agissant ainsi on prévient l'ostéoporose. D'autre part, plusieurs études épidémiologiques ont trouvé un lien entre la consommation de laitages à ce niveau, et le risque de cancer agressif de la prostate chez l'homme, ainsi que le risque de cancer des ovaires chez la femme. Les laitages augmentent le niveau d'un facteur de croissance de l'organisme, l'IGF-1, qui peut servir de révélateur à des tumeurs. Ils apportent aussi du lactose (sauf les fromages), qui serait toxique pour les ovaires.

 

Un conseil : rechercher chaque jour une à deux bonnes sources de calcium alimentaire (eau, sardines, légumes crucifères, éventuellement laitages) sans dépasser 1 à 2 laitages par jour. Il n'y a aucune obligation de consommer des laitages pour rester en bonne santé.

 

Manger moins de fritures :

Les fritures renferment des produits de la dégradation des graisses (acides gras libres, composés polaires) qui ajoutent à la charge toxique de l'organisme. Elles sont souvent préparées à partir d'huiles raffinées, qui sont une source d'acides gras trans.

 

Manger moins de viande rouge :

 Un excès de protéines animales stimule le niveau d'un facteur de croissance appelé IGF-1. Ce n'est pas le cas avec les protéines végétales. Un excès de viande rouge se traduit par un excès de fer dans l'organisme, en particulier chez les hommes et aussi chez la femme de plus de 50 ans, lorsqu'elle n'est plus réglée et ne perd plus de sang (et donc de fer) chaque mois.

 

L'excès de fer alimentaire semble associé à un risque plus élevé de certains cancers, soit parce que le fer est à l'origine de particules très réactives appelées radicaux libres, soit parce qu'il intervient dans d'autres réactions. Par exemple, si l'on mange beaucoup de fer alimentaire et qu'on avale en même temps une grande quantité de nitrates (eaux polluées), peuvent apparaître dans l'organisme des nitrosamines cancérogènes. Les viandes sont souvent mangées après avoir été poêlées, rôties, grillées. Ce type de cuisson à température élevée donne naissance à des substances mutagènes, très nombreuses dans les parties grillées et roussies et dans le jus de viande : amines hétérocyliques, hydrocarbures aromatiques polycycliques. Les études ont trouvé que les animaux qui sont exposés à ces mutagènes développent des cancers, notamment gastro-intestinaux.

 

De leur côté, les études épidémiologiques ont trouvé que les personnes qui mangent le plus de viandes grillées, roussies, rôties ont plus de risque que les autres de développer un cancer du côlon, du sein, de la prostate, du pancréas. -

 

Manger moins de charcuteries : Les personnes qui consomment fréquemment des charcuteries, notamment des salaisons courent un risque plus élevé de cancers du tube digestif par rapport aux personnes qui en consomment peu. Ceci s'explique vraisemblablement par la présence de sel nitrité dans ces aliments. Les nitrites peuvent dans certaines circonstances donner naissance à des cancérogènes, les nitrosamines.

 

Anticancer : LES INGREDIENTS ET ADDITIFS A SURVEILLER SUR LES ETIQUETTES ! Certains ingrédients et additifs présents dans les aliments transformés, les plats préparés, peuvent directement ou indirectement influencer le risque de cancer.

 

Lisez les étiquettes :

Prenez l'habitude de lire les étiquettes. Vous serez surpris(e) d'apprendre que même des conserves de légumes ou de poisson, des surimis peuvent contenir du sucre ou des amidons de blé, des charcuteries du lactose, etc...

 

Pour prévenir le cancer ou encore si vous avez dans le passé été traité pour un cancer, Il est conseillé d'être prudent avec les ingrédients suivants, que l'on rencontre communément dans les produits transformés : - sel nitrité (charcuteries, entre autres) : peuvent favoriser dans certaines circonstances l'apparition de composés cancérogènes appelés nitrosamines; - amidon de blé, amidon transformé de blé, fécule de pomme de terre, saccharose, fructose, glucose, sirop de glucose, sirop de glucose-fructose, maltose : favorisent la libération d'insuline qui sert de carburant aux tumeurs; - graisses hydrogénées, graisses partiellement hydrogénées : ces graisses peuvent renfermer des acides gras qui favorisent l'inflammation; - lactose : certaines études ont trouvé un lien entre la consommation de ce sucre du lait et le risque de cancer des ovaires; - colorants alimentaires, - fer ajouté : le fer peut favoriser les radicaux libres, à l'origine d'agressions cellulaires et, dans certaines circonstances (présence de nitrates), les nitrosamines qui sont directement cancérogènes ; - protéines de lait : expérimentalement (chez l'animal), la caséine stimule la croissance des tumeurs.

 

Une bonne raison pour améliorer votre santé, consommez en cure de trois mois notre jus d'argousier !

 

Je vous rappelle ses composants :

- Vitamines C 600mg pour 100g (50 fois la teneur de l'orange)
- Flavonoïdes de beta carotène, provitamine A (égal aux carottes)
- Vitamine E (égal au poisson blanc)
- Omega 3 et 6
- oligo-éléments : zinc, cuivre, cobalt ; calcium, magnésium, sélénium, manganèse.
- Possède une fraction huileuse constituée d’acides gras saturés et mono-insaturés,  
acide palmitique, acide pali-oléique et acide-oléique et en acides gras poly-insaturés.
- Silicium : 2,5g par litre

 

Plus de détails : cliquer ICI

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :